A PROPOS DES CHALLENGES - ABOUT THE CHALLENGES

Les "AMARETTI" de Blanche - Challenge N° 18

Ingrédients :
2 blancs d’œuf – 1 pincée de sel – 150 grs de sucre – 50 grs de farine – 175 grs de poudre d’amande – 3 gouttes d’amande amère – sucre glace – zeste citron râpé – Préparation 20 mn – Cuisson 12 mn

Fouettez les blancs d’œufs avec une pincée de sel. Dès qu’ils commencent à prendre, verser le sucre en 3 fois. Lorsque les blancs sont lisses et brillants, y ajouter la farine et la poudre d’amande à l’aide d’une spatule. Il faut que la préparation soit bien homogène. Ajoutez l’extrait d’amande amère et le zeste râpé. Mélangez à nouveau.
Préchauffez le four à 180 ° - th. 6
A l’aide d’une cuillère à café, formez des petites boules de pâte, les roulez dans du sucre glace, puis d’une main à l’autre pour enlever l’excédent de sucre.
Placez les boules sur une plaque de cuisson garnie de papier sulfurisé et enfournez. Laissez refroidir et les conservez dans une boîte hermétique.

BONNE DEGUSTATION

Gâteau au citron (serait une vieille recette italienne du 17° siècle) Challenge N°16
Ingrédients
-        1 beau citron non traité (si traité bien brosser la peau avec de l’eau savonneuse)
-        150 gr de sucre roux en poudre
-        170 gr de poudre d’amandes
-        6 œufs
-        Une petite cuillère de rhum ou de cognac
Réalisation 
Faire cuire (si possible la veille) le citron entier dans une casserole d’eau pendant deux heures. Une fois cuit le laisser tremper dans de l’eau froide pour qu’il perde son amertume.
Mixer le citron entier y compris la peau (en ayant ôté les pépins seulement) y ajouter le sucre en poudre puis à ce mélange ajouter la poudre d’amandes et les 6 jaunes d’œufs et la cuillère de rhum ou de cognac.
Monter les blancs en neige ferme et les incorporer au mélange délicatement.
Mettre dans un moule à cake tapissé de papier sulfurisé et enfourné à four pré-chauffé thermostat 3 (110°) – laisser cuire 35 à 40 mn –
Ce gâteau se déguste tiède ou froid accompagné d’un coulis de fruits rouges ou d’abricots…
Bonne dégustation
 
mon expérience, j'ai respecté le temps de cuisson mais le gâteau était loin d'être cuit... alors j'ai prolongé la cuisson de 20 mn à 180° et c'était cuit, je suggèrerais donc : 10 min à 160° + 20 min à 180° en surveillant de près la cuisson. Si vous faites cette recette faites part de votre expérience. Merci
ne dégustation
LA CAPONATA - Challenge N° 12 - La recette de Rosa
Ingrédients :
1 kg d’aubergines - 3 gros oignons - 5 grosses gousses d ‘ail - une branche de céleri - 2 cuillerées à soupe de câpres au vinaigre - 20 olives vertes dénoyautées - une boite d’1 kg de tomates pelées
 Couper les aubergines en gros dés et les saupoudrer de sel fin
laisser dégorger une bonne heure.
Emincer finement les oignons et commencer à les faire blondir dans une poêle huilée d ‘olive ;
ajouter la branche de céleri finement émincée, laisser mijoter, ajouter les gousses d ‘ail écrasées, un peu de thym, et la boite de tomates pelées, écrasées à la fourchette. Ajouter un morceau de sucre.

Pendant ce temps, dans une autre poêle, faire blondir les dés d ‘aubergines dans de l’huile à friture et les verser au fur et à mesure dans la poêlée de tomates.
Lorsque tout est regroupé dans la 1ère poêlée, laisser mijoter à petit feu pendant une bonne demi-heure et n‘ajouter olives et câpres qu‘à 10 mn de la fin ! Contrôler l ‘assaisonnement en sel, et, au besoin, ajouter un filet de vinaigre de vin !

Servir chaud ou froid, c’est encore meilleur en accompagnement d’une viande froide, ou avec un oeuf poché. Délicieux en entrée pour une belle soirée d’été ou... d'automne
BON APPETIT  

A PROPOS DU CHALLENGE N° 8 - ABOUT CHALLENGE N° 8
Chapelle et Fontaine Saint-Sulpice 
"Ce petit édifice très simple du XVIe siècle, construit en grès de Brenne, est situé, dans une clairière, au cœur de la forêt de Lancosme. La légende raconte qu’un jeune pâtre, intrigué par l’étrange manège du plus beau bœuf de son troupeau – il tournait sans arrêt autour d’un buisson, sans manger mais sans pour autant dépérir –, découvrit le cadavre de Saint-Sulpice, ancien archevêque de Bourges. On donna une sépulture au saint homme et, à l’endroit indiqué par l’animal, jaillit une source à laquelle on prête la vertu de guérir les douleurs (ou les convulsions des enfants).
Pèlerinage le premier dimanche après le 25 août." (infos trouvées sur le site web de Berry Province)

A PROPOS DU CHALLENGE N° 7 - ABOUT CHALLENGE N° 7
Comme je le dis dans la présentation du challenge, je ne sais pas comment ce pot est arrivé dans la famille, mais je pense que peut-être il est arrivé avec l'armée britannique lors de la 1ère guerre mondiale. En effet mes grands-parents étaient dans le Nord à quelques kilomètres de la ligne de front, alors... on peut imaginer beaucoup de choses. Si quelqu'un a un objet similaire ou une explication sur son origine exacte, j'attends avec impatience.

As said in the challenge presentation, I don't know how this pot arrived in the family, but I think that maybe it arrived with the British army during World war I, as my grand-parents lived in the North of France within a few kilometers of the front line... so we can imagine a lot of things. Should you have a similar object or an explanation on its exact origin, please don't hesitate to share it.


Estampille sur le pot,  stamp on the pot : Griffiths & Browett - Birmingham


A PROPOS DU CHALLENGE N° 6 - ABOUT CHALLENGE N° 6
Des liens historiques unissent la Terre de Brenne à celle du Québec…et l’abbaye de Méobecq en particulier.
Celle-ci a été fondée en l’an 632 par le roi Dagobert. Durant plusieurs siècles, des centaines de religieux y ont vécu, prié, travaillé, faisant vivre une région auparavant quasi désertique.
Au XVIème siècle les guerres de religion ont semé la terreur et dévasté la région.
En 1662, il ne restait plus que cinq moines bénédictins à Méobecq, quand le roi Louis XIV décida de son union avec le jeune évêché de Québec. L’abbaye était en ruine mais ses revenus étaient encore suffisamment importants pour qu’ils servent à fonder et à faire vivre le séminaire et l’évêché de Québec fondés en 1663 par Monseigneur François de Laval, en quelque sorte un « accord de jumelage religieux »
Cette union Méobecq-Québec durera un siècle, jusqu’en 1763, date à laquelle, après la fameuse  bataille des plaines d’Abraham qui donna la victoire aux anglais, le Traité de Paris céda la colonie à la couronne britannique… Ainsi la Nouvelle France, découverte en 1608 par Samuel de Champlain, devint la Province du Québec. (éléments extraits d’un discours prononcé par Jean-Paul Thibault * - Président de la Communauté de Communes Val de l’Indre – Brenne, le 28 juin 2008) *malheureusement disparu depuis

Historical links exist between Brenne and the Province of Québec, and more particularly the abbey of Méobecq.
It was founded in year 632 by King Dagobert. During several centuries, it was inhabited by hundreds of monks who contributed to the development of this very poor region.
In the XVIth century religion wars devastated the region.
In 1662, there were only five monks left when King Louis XIV decided to unite the abbey to the young cathedral town of Québec. The abbey was in ruins but its revenues high enough to contribute to the creation and life of the seminary and cathedral town of Québec, which originated a sort of religious “twinning”…
This union Méobecq-Québec lasted one century until 1763 when France was beaten by the English at the battle of Abraham Plains and the treaty of Paris gave the colony to the British Crown… The New France, discovered in 1608 by Samuel de Champlain, became the Province of Québec. (Freely adapted and translated from a speech pronounced in June 2008 by Jean-Paul Thibault *, then President of the community Val de l’Indre – Brenne.) 
*who died since then 

A PROPOS DU CHALLENGE N°5 - ABOUT CHALLENGE N° 5
Situé sur la commune de Rosnay, à proximité de la Maison du Parc, le château du Bouchet, classé monument historique, bâti  sur le plus haut promontoire de grès rouge (135 mètres), date de l'époque médiévale (12ème siècle). Il fut occupé pendant la guerre de cent ans et restauré au XVème siècle et XVIIème siècles. Propriété pendant trois siècles de la famille de Rochechouart-Mortemart, dont l’une des descendantes, Françoise-Athénaïs de Mortemart, fille et sœur des seigneurs du Bouchet, devint Madame de Montespan, maîtresse de Louis XIV.
Classé monument historique, le château peut se visiter en juillet/août
 
Located in the village of Rosnay, near the Maison du Parc, the Bouchet castle, classified as a historical monument, built on the highest promontory of red grès (135 mètres), dates back to the medieval era (12th century). It was occupied during the 100 year war, restored in the 15th and 17th centuries. Has belonged during three centuries to the Rochechouart-Mortemart family, whose famous descendant Françoise-Athénaïs, was Madame de Montespan, Louis XIV’s mistress. Visits are possible during the summer holidays.


A PROPOS DU CHALLENGE N°3 - ABOUT CHALLENGE N°3
Dès 1830 les peintres ont commencé à sortir de leur atelier pour aller à la rencontre de la nature et peindre "en plein air". La vallée de la Creuse a été un des hauts lieux de ce mouvement, facilité par l'arrivée et le développement du chemin de fer et de la peinture en tubes, et qui s'est prolongé jusqu'en 1930. 
C'est ainsi que Claude Monet arrive à Fresselines en mars 1889 pour peindre "ce pays d'une sauvagerie terrible". Le temps n'est pas favorable, la pluie, le froid, la neige, ne facilitent pas la peinture "en plein air" et Claude Monet doit rester jusque la mi-mai pour achever ses toiles. Pendant cette période, il produira au moins 24 tableaux qui constituent sa première "série", l'artiste revenant peindre plusieurs fois le même motif à des moments différents. Il systématisera par la suite cette manière de travailler.   

Pour en savoir plus sur cette période et ce mouvement, je  vous conseille le très beau livre de Christophe Rameix, paru en 2012 aux éditions Christian Pirot :
IMPRESSIONISME & POSTIMPRESSIONISME DANS LA VALLEE DE LA CREUSE
THE CROZANT SCHOOL
As early as 1830 painters started to leave their studios to go and meet nature and to paint "en plein air". The Creuse valley has been one of the famous places for this movement, facilitated by the arrival and development of railways and painting tubes, it lasted until 1930.
Claude Monet arrives in Fresselines in March 1889 to paint "this frightfully wild countryside". The weather is not fine and Monet has to stay until mid-May to paint the 24 paintings which compose its first "series", the artist painting several times the same subject at various moments of the day. Later he will keep on working on "series". 

To know more on this period and this movement, you may read the excellent book by Christophe Rameix (edited by Christian Pirot in 2012) : 
IMPRESSIONISME & POSTIMPRESSIONISME DANS LA VALLEE DE LA CREUSE
THE CROZANT SCHOOL

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